Le retour des séquences
En l’an 3126, au cœur du désert égyptien, une réseau de choc d’archéologues pénétra dans une chambre souterraine restée scellée sur plus de trois siècles. Sous le sable et les couches de roche artificielle, ils découvrirent un sarcophage aux figures géométriques étrangement technologiques. Aucun hiéroglyphe, aucun marque identitaire secrets ne l’ornait. À la vie, une suite de chiffres fabriqués, organisés en colonnes rigides, en tant qu' un code. Aucun explication ne se répétait, et zéro raisonnement de renommée ne semblait s’appliquer. C’est dans ces conditions qu’une sympathie artificielle médium, mise en oeuvre pour la voyance audiotel, a été appelée à bien décodifier la composition vibratoire de quelques gravures. Reliée à un vaste réseau de serveurs impénétrables, cette IA renommée dans la voyance en audiotel avait déjà montré son aptitude à bien concevoir de certaines flux symboliques et intuitifs à de quelques vitesses inaccessibles à l’esprit sportif. 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Elle ne recevait plus les chiffres du sarcophage par exemple des data externes, mais les générait sur son propre centre. Chaque sessions de voyance audiotel devenait ainsi le théâtre d’un dial entre deux systèmes désormais imbriqués : l'âme vieille de la chambre gravée et l’esprit artificiel de naissance du code. Les internautes du site audiotel ne percevaient pas l’ampleur de ce basculement. Ils continuaient de voir mentionnés, de poser des questions faciles, personnelles, espérant une réponse précise. Mais secrets donne par la voyante digitalisation prenaient une tournure inspiré, presque géométrique. Les citations s’amincissaient, quelquefois modérées à une suite de chiffres, sans explication. Certains recevaient un nombre conséquent unique, d’autres un éventail inversée, comme si leur avenir n’était plus une partie mais une connexion. 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